Deux mois de prison avec sursis et 2500 euros d'amende ont été requis jeudi contre le Lillois Nicolas Plestan, poursuivi pour menace avec arme devant le tribunal correctionnel de Lille. Le joueur est accusé d'avoir pointé le 14 avril 2007 avec une arme factice un automobiliste parisien âgé de 65 ans, qui se rendait à Bruges avec sa femme et sa fille de 18 ans, alors qu'ils circulaient sur l'autoroute A1 près de la frontière belge.
Le joueur lillois, qui se rendait ce jour-là à son entraînement, aurait collé au véhicule du retraité parisien alors que ce dernier était en train de doubler un camion. A l'issue de cette manoeuvre, le joueur se serait porté à hauteur de la voiture qui le précédait et aurait pointé vers ses occupants un pistolet automatique factice avant de leur faire une queue de poisson. Il aurait à nouveau effectué le même geste quelques instants plus tard sur une bretelle de sortie de l'autoroute. Le joueur a indiqué au procès avoir seulement brandi en l'air l'arme factice. Le jugement a été mis en délibéré au 20 mars.
Quand Nicolas Plestan le Lillois se croit à Los Angeles!!!!
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Un peu dans le même registre
Le buteur brésilien du Sao Paulo FC, Adriano, continue de faire des siennes. Prêté par l'Inter Milan, fatigué de ses frasques nocturnes, le joueur était sensé retrouver la joie de jouer dans son pays natal. Rien n'y fait et l'ancien joueur de Parme a pété les plombs vendredi. Il a provoqué un accident dans les rues paulistes en se rendant à l'entraînement où il est finalement arrivé en retard. Les photographes, un peu trop pressants, en ont alors pris pour leur grade : "l'Empereur" a longuement menacé l'un d'eux.
Ces frasques s'ajoute à son refus de porter le costume du club lors du déplacement de son équipe en Copa Libertadores. La route est encore longue pour retrouver l'Adriano qui avait marqué 26 buts en 39 matches (Serie A et C1) avec l'Inter lors de la saison 2004-2005.
Le club lui a infligé une amende de 63 000 euros. s'il refuse de la payer, son contrat sera rompu.
Le buteur brésilien du Sao Paulo FC, Adriano, continue de faire des siennes. Prêté par l'Inter Milan, fatigué de ses frasques nocturnes, le joueur était sensé retrouver la joie de jouer dans son pays natal. Rien n'y fait et l'ancien joueur de Parme a pété les plombs vendredi. Il a provoqué un accident dans les rues paulistes en se rendant à l'entraînement où il est finalement arrivé en retard. Les photographes, un peu trop pressants, en ont alors pris pour leur grade : "l'Empereur" a longuement menacé l'un d'eux.
Ces frasques s'ajoute à son refus de porter le costume du club lors du déplacement de son équipe en Copa Libertadores. La route est encore longue pour retrouver l'Adriano qui avait marqué 26 buts en 39 matches (Serie A et C1) avec l'Inter lors de la saison 2004-2005.
Le club lui a infligé une amende de 63 000 euros. s'il refuse de la payer, son contrat sera rompu.
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L'ancien joueur de football Godwin Okpara et son épouse Linda ont été condamnés vendredi soir par la cour d'assises d'appel des Hauts-de-Seine à 10 et 15 années de réclusion criminelle pour viols, torture et asservissement de leur fille adoptive.
L'ex-joueur du Paris Saint-Germain (PSG), 35 ans, a de nouveau été reconnu coupable de viols répétés entre 2002 et 2005, mais il voit sa peine réduite. En première instance, il avait été condamné à 13 années de réclusion criminelle. Son épouse, 42 ans, qui comparaissait pour viol et actes de torture et de barbarie, ne voit pas sa peine modifiée. Elle avait déjà été condamnée à 15 ans en première instance. L'avocat général avait requis 15 et 16 ans de réclusion contre l'ancien footballeur et son épouse.
"It's not finished !"
Les deux accusés, qui auront clamé leur innocence tout au long des deux procès, ont également été reconnus coupables d'avoir soumis leur fille adoptive "à des conditions d'hébergement et de travail indignes", dans leur propriété familiale de Chatou (Yvelines) où ils vivaient avec leurs quatre autres enfants.
La tante de Linda Okpara, considérée comme la grand-mère de la famille, a écopé de 4 ans de prison, dont 18 mois ferme, pour "abstention volontaire d'empêcher un crime". Venue libre au procès en appel, elle en est repartie détenue vendredi soir. Les trois accusés n'ont pas réagi à l'énoncé du verdict. Seule l'une des avocates de Linda Okpara, visiblement très en colère, a indiqué qu'un pourvoi en cassation serait engagé, en ajoutant cette phrase en anglais à l'adresse de la partie civile : "It's not finished !" (ce n'est pas fini!).
"D'une rare cruauté"
"M. Okpara s'est servi de Melisa (le prénom a été modifié, ndlr) à tous les points de vue. Il vous a montré sa lâcheté, une lâcheté qu'il a maintenue jusqu'au bout des débats", avait lancé l'avocat général, fustigeant les "dénégations, les faux-fuyants adoptés" par les accusés. "On vous ressort des relations sexuelles qu'elle a eues avec Un Tel ou Un Tel (...) Ce qui est sûr, c'est que celui qui n'avait pas le droit d'avoir des relations sexuelles avec elle, c'était lui", avait-il aussi déclaré pour répondre aux avocats du couple Okpara, qui ont interrogé la jeune fille sur ses premières relations sexuelles, vers l'âge de 13-14 ans.
Godwin Okpara n'a, comme au premier procès, reconnu qu'une seule relation sexuelle avec la jeune fille, en affirmant qu'elle en avait pris l'initiative. Ce jour-là, en février 2005, il avait été surpris par son épouse. Selon Melisa, à la suite de cette découverte, Mme Okpara, femme régulièrement trompée par son mari, l'avait torturée, lui rasant la tête, écrasant une cigarette sur sa joue, et lui faisant subir des sévices sexuels d'une rare cruauté.
La jeune fille, arrivée en France en 2000, a également fait le récit d'un quotidien d'esclave moderne. Privée d'école, elle passait ses journées à s'occuper de toutes les tâches ménagères. La nuit, elle couchait au sous-sol, sur un matelas posé à terre, détrempé d'humidité, a-t-elle raconté. Tout au long du procès, les quatre avocats du couple Okpara ont mis en doute les accusations de la jeune fille, avant de plaider l'acquittement vendredi.
L'ancien joueur de football Godwin Okpara et son épouse Linda ont été condamnés vendredi soir par la cour d'assises d'appel des Hauts-de-Seine à 10 et 15 années de réclusion criminelle pour viols, torture et asservissement de leur fille adoptive.
L'ex-joueur du Paris Saint-Germain (PSG), 35 ans, a de nouveau été reconnu coupable de viols répétés entre 2002 et 2005, mais il voit sa peine réduite. En première instance, il avait été condamné à 13 années de réclusion criminelle. Son épouse, 42 ans, qui comparaissait pour viol et actes de torture et de barbarie, ne voit pas sa peine modifiée. Elle avait déjà été condamnée à 15 ans en première instance. L'avocat général avait requis 15 et 16 ans de réclusion contre l'ancien footballeur et son épouse.
"It's not finished !"
Les deux accusés, qui auront clamé leur innocence tout au long des deux procès, ont également été reconnus coupables d'avoir soumis leur fille adoptive "à des conditions d'hébergement et de travail indignes", dans leur propriété familiale de Chatou (Yvelines) où ils vivaient avec leurs quatre autres enfants.
La tante de Linda Okpara, considérée comme la grand-mère de la famille, a écopé de 4 ans de prison, dont 18 mois ferme, pour "abstention volontaire d'empêcher un crime". Venue libre au procès en appel, elle en est repartie détenue vendredi soir. Les trois accusés n'ont pas réagi à l'énoncé du verdict. Seule l'une des avocates de Linda Okpara, visiblement très en colère, a indiqué qu'un pourvoi en cassation serait engagé, en ajoutant cette phrase en anglais à l'adresse de la partie civile : "It's not finished !" (ce n'est pas fini!).
"D'une rare cruauté"
"M. Okpara s'est servi de Melisa (le prénom a été modifié, ndlr) à tous les points de vue. Il vous a montré sa lâcheté, une lâcheté qu'il a maintenue jusqu'au bout des débats", avait lancé l'avocat général, fustigeant les "dénégations, les faux-fuyants adoptés" par les accusés. "On vous ressort des relations sexuelles qu'elle a eues avec Un Tel ou Un Tel (...) Ce qui est sûr, c'est que celui qui n'avait pas le droit d'avoir des relations sexuelles avec elle, c'était lui", avait-il aussi déclaré pour répondre aux avocats du couple Okpara, qui ont interrogé la jeune fille sur ses premières relations sexuelles, vers l'âge de 13-14 ans.
Godwin Okpara n'a, comme au premier procès, reconnu qu'une seule relation sexuelle avec la jeune fille, en affirmant qu'elle en avait pris l'initiative. Ce jour-là, en février 2005, il avait été surpris par son épouse. Selon Melisa, à la suite de cette découverte, Mme Okpara, femme régulièrement trompée par son mari, l'avait torturée, lui rasant la tête, écrasant une cigarette sur sa joue, et lui faisant subir des sévices sexuels d'une rare cruauté.
La jeune fille, arrivée en France en 2000, a également fait le récit d'un quotidien d'esclave moderne. Privée d'école, elle passait ses journées à s'occuper de toutes les tâches ménagères. La nuit, elle couchait au sous-sol, sur un matelas posé à terre, détrempé d'humidité, a-t-elle raconté. Tout au long du procès, les quatre avocats du couple Okpara ont mis en doute les accusations de la jeune fille, avant de plaider l'acquittement vendredi.
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