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Toute la difficulté de la relation homme/femme en temps de guerre en Afghanistan.
Pas du tout aussi triste qu'il en a l'air grâce, notamment, à sa narration assez originale.
C'est une grande bouffée d'oxygène féminine dans un monde accablé par les hommes.
J'ai carrément adoré, je l'ai dévoré... à la limite de l'hypnose.
Pas du tout aussi triste qu'il en a l'air grâce, notamment, à sa narration assez originale.
C'est une grande bouffée d'oxygène féminine dans un monde accablé par les hommes.
J'ai carrément adoré, je l'ai dévoré... à la limite de l'hypnose.
Résumé du livre
Plage de sable fin sur une île privée des Caraïbes, une bombe sexuelle pour seule compagnie, Myron Bolitar essaie d'oublier Brenda Slaughter la basketteuse qu'il n'a pu sauver et dont il était tombé amoureux. Mais quand Win, richissime sociopathe et néanmoins meilleur ami, vient le chercher dans son jet, cela signifie que les ennuis commencent. Et quels ennuis... Esperanza, son associée, est accusée du meurtre d'un de leurs clients, Clu Haid, une star de base-ball sur le déclin. Et avec cette mauvaise publicité qui s'ajoute à la longue disparition de Myron, MB Sport est en train de perdre une bonne partie de sa clientèle débauchée par l'agence concurrente, tenue par le pire des escrocs. Bien sûr, Myron vole au secours d'Esperanza. Le seul problème c'est qu'elle ne veut pas de son aide, et refuse de lui parler. Et même si Myron et Win sont convaincus de son innocence, les faits sont accablants : la veille du meurtre, Clu Haid s'est battu avec Esperanza dont on a retrouvé les empreintes et diverses traces ADN sur la scène de crime... Très vite, Myron se rend compte qu'il n'est pas aussi lucide qu'il lui semblait. Il doute. Ne serait-il pas en train de recommencer les mêmes erreurs qui ont conduit à la mort de Brenda ?
Pour ceux qui connaissent les aventires de myron bolitar celui là est ecxellent !!
Le prochaine "peur noir" du meme auteur.
Faites moins de bruit...on s' entend pas foldé. ..
Pas besoin de connaître ni même d'avoir entendu parler d'Emil Zátopek pour passer un très, très bon moment avec ce livre.
A peine 150 pages pour nous raconter le destin exceptionnel d'un parfait Monsieur toutlemonde.
C'est drôle, franc et historiquement authentique.
Bon, là, suivant une des suggestions de Zeb, j'attaque 676 de Yan Gérard.
A peine 150 pages pour nous raconter le destin exceptionnel d'un parfait Monsieur toutlemonde.
C'est drôle, franc et historiquement authentique.
Bon, là, suivant une des suggestions de Zeb, j'attaque 676 de Yan Gérard.
- christophe
- Deux paires
- Messages : 578
- Inscription : Lundi 11 Octobre 2004 16:43
Je viens juste de finir ça :
Une vraie petite découverte, enquête passionnante et poésie de la traduction y font bon ménage.
Petit résumé trouvé sur le net :
Quand un vieil ami de sa famille lui demande de retrouver un sceau de jade ancien volé dans un musée pendant la Révolution culturelle, Mei ne se doute pas qu'elle va devoir, pour résoudre l'énigme, fouiller dans son propre passé et dans celui de sa mère...
Un passé trouble qui implique un ancien garde rouge devenu maître chanteur, une jeune prostituée, un agent du gouvernement très haut placé et un antiquaire rescapé des camps de Mao. Des ruines du palais d'Été aux salles de jeu clandestines en passant par les ruelles obscures du vieux Pékin et les tours de verre des quartiers neufs, l'enquête de Wang Mei nous plonge dans une ville immense et millénaire, hantée par les années tragiques de la Révolution.
Une vraie petite découverte, enquête passionnante et poésie de la traduction y font bon ménage.
Petit résumé trouvé sur le net :
Quand un vieil ami de sa famille lui demande de retrouver un sceau de jade ancien volé dans un musée pendant la Révolution culturelle, Mei ne se doute pas qu'elle va devoir, pour résoudre l'énigme, fouiller dans son propre passé et dans celui de sa mère...
Un passé trouble qui implique un ancien garde rouge devenu maître chanteur, une jeune prostituée, un agent du gouvernement très haut placé et un antiquaire rescapé des camps de Mao. Des ruines du palais d'Été aux salles de jeu clandestines en passant par les ruelles obscures du vieux Pékin et les tours de verre des quartiers neufs, l'enquête de Wang Mei nous plonge dans une ville immense et millénaire, hantée par les années tragiques de la Révolution.
je suis en train de lire ça:
Si Trainspotting reste après toutes ces années son roman le plus connu (au point qu'il lui ait donné sa suite, Porno), Irvine Welsh n'en est pas pour autant l'écrivain trash cool sympathique que l'adaptation du livre à l'écran par Danny Boyle(rock, ecsta, sexe et glandouille) laissait entrevoir.
En sortant en 1997 (2000 pour la traduction française aux Editions de l'Olivier), l'affreux Une ordure, Irvine Welsh livrait son roman le plus noir, le plus moralement borderline et sûrement le plus puissant. Une Ordure raconte la "descente aux enfers" (encore qu'il y soit déjà) d'un flic écossais qui, après le départ de sa femme Carole (pour des raisons qu'on ignore assez longtemps, est-ce un simple voyage chez sa mère ou une rupture définitive ?), sombre dans une décadence totale, physique, morale et j'en passe. Bruce Robertson est cette sorte de héros, proche par le comportement excessif du Bad Lieutenant d' Abel Ferrara et Harvey Keitel, mais avec un supplément d'âme et de fougue littéraire en plus, qui rend son portrait, énoncé à la 1ère personne, particulièrement troublant. Irvine Welsh
et je m'apprête à deguster ça:
C'est par le biais du polar que Jean-Charles Chapuzet a choisi d'autopsier l'oeuvre et la vie d'HFT. Le commissaire Stanislas Bronski et son lieutenant Joseph Destouches sont chargés de retrouver, mort ou vif, un poète jurassien, Monsieur Hubert Félix Thiéfaine. Ce dernier a enlevé une sirène qui répond au joli nom de Lorelei. Reste à maîtriser l'environnement du coupable ; ce n'est pas gagné. De Paris à Arbois, en passant par Hong-Kong et la Toscane, croisant Jean-Louis Foulquier, Paul Personne, Lautréamont, Malcom Lowry, Jim Morrison ou Léo Ferré, les deux enquêteurs s'embourbent dans un univers bien particulier, empreint de liberté, de mysticisme, d'alcool, de gentillesse et d'antidépresseurs ; bref, des idées noires et du vin jaune, tout HFT. Vont-ils atteindre leur proie, à moins que ce périple leur soit fatal ?...
Si Trainspotting reste après toutes ces années son roman le plus connu (au point qu'il lui ait donné sa suite, Porno), Irvine Welsh n'en est pas pour autant l'écrivain trash cool sympathique que l'adaptation du livre à l'écran par Danny Boyle(rock, ecsta, sexe et glandouille) laissait entrevoir.
En sortant en 1997 (2000 pour la traduction française aux Editions de l'Olivier), l'affreux Une ordure, Irvine Welsh livrait son roman le plus noir, le plus moralement borderline et sûrement le plus puissant. Une Ordure raconte la "descente aux enfers" (encore qu'il y soit déjà) d'un flic écossais qui, après le départ de sa femme Carole (pour des raisons qu'on ignore assez longtemps, est-ce un simple voyage chez sa mère ou une rupture définitive ?), sombre dans une décadence totale, physique, morale et j'en passe. Bruce Robertson est cette sorte de héros, proche par le comportement excessif du Bad Lieutenant d' Abel Ferrara et Harvey Keitel, mais avec un supplément d'âme et de fougue littéraire en plus, qui rend son portrait, énoncé à la 1ère personne, particulièrement troublant. Irvine Welsh
et je m'apprête à deguster ça:
C'est par le biais du polar que Jean-Charles Chapuzet a choisi d'autopsier l'oeuvre et la vie d'HFT. Le commissaire Stanislas Bronski et son lieutenant Joseph Destouches sont chargés de retrouver, mort ou vif, un poète jurassien, Monsieur Hubert Félix Thiéfaine. Ce dernier a enlevé une sirène qui répond au joli nom de Lorelei. Reste à maîtriser l'environnement du coupable ; ce n'est pas gagné. De Paris à Arbois, en passant par Hong-Kong et la Toscane, croisant Jean-Louis Foulquier, Paul Personne, Lautréamont, Malcom Lowry, Jim Morrison ou Léo Ferré, les deux enquêteurs s'embourbent dans un univers bien particulier, empreint de liberté, de mysticisme, d'alcool, de gentillesse et d'antidépresseurs ; bref, des idées noires et du vin jaune, tout HFT. Vont-ils atteindre leur proie, à moins que ce périple leur soit fatal ?...
joueur d'apéro
- hellboychess
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- Inscription : Lundi 20 Février 2006 22:42
Un classique que je n'avais pas encore lu
Descriptif rapide :
"Holden Caulfield, renvoyé du très prestigieux collège de Pencey Prep, trois jours avant les vacances de Noël, décide de retourner dans la maison familiale mais n’ose pas affronter une nouvelle fois ses parents. C’est alors que débute une longue pérégrination dans les rues de New-York. Dans ce roman, JD Salinger décrit le difficile passage à l’âge adulte d’un adolescent en crise, plein de doutes et en quête de lui-même, avec ironie, sarcasmes et justesse."
Je suis bien obligé d'admettre qu'au final je n'ai pas été très emballé.
Ni par le style, ni par le sujet, ni par le regard porté sur NY...
Publié en 1961, ce livre provoqua une jolie polémique car il aborde quelques sujets "tabous" à l'époque (prostitution, sexualité, alcool...).
C'est évidemment moins sulfureux aujourd'hui, ceci explique peut-être ma déception.
Descriptif rapide :
"Holden Caulfield, renvoyé du très prestigieux collège de Pencey Prep, trois jours avant les vacances de Noël, décide de retourner dans la maison familiale mais n’ose pas affronter une nouvelle fois ses parents. C’est alors que débute une longue pérégrination dans les rues de New-York. Dans ce roman, JD Salinger décrit le difficile passage à l’âge adulte d’un adolescent en crise, plein de doutes et en quête de lui-même, avec ironie, sarcasmes et justesse."
Je suis bien obligé d'admettre qu'au final je n'ai pas été très emballé.
Ni par le style, ni par le sujet, ni par le regard porté sur NY...
Publié en 1961, ce livre provoqua une jolie polémique car il aborde quelques sujets "tabous" à l'époque (prostitution, sexualité, alcool...).
C'est évidemment moins sulfureux aujourd'hui, ceci explique peut-être ma déception.
Je viens de finir ça, ça m'a un peu rappelé 99F de Beigbeder, en moins bavard.
Record de concision sarcastique : toute l'intrigue est dans le titre ; ça craque-krach de libido partout et ça party-partouze de fric tout du long. Les chapitres ont des intitulés d'horaires de chemin de fer (7H02, 8H11, 10H33…) comme pour mieux accompagner, au long d'une journée très particulière pour le héros (Hugues Frassier), le déraillement épileptique du train-train des arnaques de la sphère financière.
« Héros » est un grand gros-mot. Ce Frassier est à vomir de réalisme en fringante néo-crapule de la finance cocaïnée. A côté de lui Bernard Madoff serait la réincarnation sauvageonne de l'abbé Pierre. Le problème, qui fait toute la saveur du livre, c'est que tous ceux qui entourent Frassier, le courtisent ou le veulent mort, ne valent pas mieux que lui.
SOURCE rue89
Record de concision sarcastique : toute l'intrigue est dans le titre ; ça craque-krach de libido partout et ça party-partouze de fric tout du long. Les chapitres ont des intitulés d'horaires de chemin de fer (7H02, 8H11, 10H33…) comme pour mieux accompagner, au long d'une journée très particulière pour le héros (Hugues Frassier), le déraillement épileptique du train-train des arnaques de la sphère financière.
« Héros » est un grand gros-mot. Ce Frassier est à vomir de réalisme en fringante néo-crapule de la finance cocaïnée. A côté de lui Bernard Madoff serait la réincarnation sauvageonne de l'abbé Pierre. Le problème, qui fait toute la saveur du livre, c'est que tous ceux qui entourent Frassier, le courtisent ou le veulent mort, ne valent pas mieux que lui.
SOURCE rue89
zelyh a écrit :Si écrire vous est salutaire, utilisez word !
Je viens de finir celui-là :
Difficile de dire à quel point c'est autobiographique ou pas, c'est en tout cas extrêmement crédible.
Le "héros" est très attachant et le livre aussi
Michel Marini avait douze ans en 1959. C'était l'époque du rock'n'roll et de la guerre d'Algérie. Lui, il était photographe amateur, lecteur compulsif et joueur de baby-foot au Balto de Denfert-Rochereau. Dans l'arrière-salle du bistrot, il a rencontré Igor, Léonid, Sacha, Imré et les autres. Ces hommes avaient passé le Rideau de Fer pour sauver leur peau. Ils avaient abandonné leurs amours, leur famille, trahi leurs idéaux et tout ce qu'ils étaient. Ils s'étaient retrouvés à Paris dans ce club d'échecs d'arrière-salle que fréquentaient aussi Kessel et Sartre. Et ils étaient liés par un terrible secret que Michel finirait par découvrir. Cette rencontre bouleversa définitivement la vie du jeune garçon. Parce qu'ils étaient tous d'incorrigibles optimistes. Portrait de génération, reconstitution minutieuse d'une époque, chronique douce-amère d'une adolescence : Jean-Michel Guenassia réussit un premier roman étonnant tant par l'ampleur du projet que par l'authenticité qui souffle sur ces pages. sur Amazon
Difficile de dire à quel point c'est autobiographique ou pas, c'est en tout cas extrêmement crédible.
Le "héros" est très attachant et le livre aussi
Michel Marini avait douze ans en 1959. C'était l'époque du rock'n'roll et de la guerre d'Algérie. Lui, il était photographe amateur, lecteur compulsif et joueur de baby-foot au Balto de Denfert-Rochereau. Dans l'arrière-salle du bistrot, il a rencontré Igor, Léonid, Sacha, Imré et les autres. Ces hommes avaient passé le Rideau de Fer pour sauver leur peau. Ils avaient abandonné leurs amours, leur famille, trahi leurs idéaux et tout ce qu'ils étaient. Ils s'étaient retrouvés à Paris dans ce club d'échecs d'arrière-salle que fréquentaient aussi Kessel et Sartre. Et ils étaient liés par un terrible secret que Michel finirait par découvrir. Cette rencontre bouleversa définitivement la vie du jeune garçon. Parce qu'ils étaient tous d'incorrigibles optimistes. Portrait de génération, reconstitution minutieuse d'une époque, chronique douce-amère d'une adolescence : Jean-Michel Guenassia réussit un premier roman étonnant tant par l'ampleur du projet que par l'authenticité qui souffle sur ces pages. sur Amazon
Ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé...
Me suis fait ch*** en lisant ce bouquin.
C'est censé raconter une "histoire" une passion, une séparation et/ou des retrouvailles.
Et en fait on passe son temps dans un aéroport avec un cheval (si si, c'est vrai).
Bref, j'ai pas aimé, quoi
Amazon : L’orage, la nuit, le vent, la pluie, le feu, les éclairs, le sexe et la mort. Plus tard, en repensant aux heures sombres de cette nuit caniculaire, je me suis rendu compte que nous avions fait l’amour au même moment, Marie et moi, mais pas ensemble.
Me suis fait ch*** en lisant ce bouquin.
C'est censé raconter une "histoire" une passion, une séparation et/ou des retrouvailles.
Et en fait on passe son temps dans un aéroport avec un cheval (si si, c'est vrai).
Bref, j'ai pas aimé, quoi
Amazon : L’orage, la nuit, le vent, la pluie, le feu, les éclairs, le sexe et la mort. Plus tard, en repensant aux heures sombres de cette nuit caniculaire, je me suis rendu compte que nous avions fait l’amour au même moment, Marie et moi, mais pas ensemble.
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