Ptite histoire
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Ptite histoire
Michael Cooper, Australien d'une vingtaine d'années avait fait dans les années 80, un voyage au Kenya à la fin de ses études.
Lors d'un safari, alors qu'il s'était éloigné de son groupe au moment d'un arrêt, il se trouva face à face avec un éléphanteau qui semblait blessé à sa patte avant gauche qu'il maintenait levée.
Cooper réalisait que l'animal pourrait le charger, mais comme il ne semblait pas agressif, il s'en est approché prudemment et il a pu constater qu'en effet, l'éléphanteau avait une énorme écharde plantée à la base de sa patte.
Très calmement, Cooper a posé un genou à terre et à l'aide de son couteau, a retiré l'écharde de la patte.
Dès que l'animal a été soigné, il a pu reposer sa patte au sol, il a longuement regardé Cooper, puis il a barri bruyamment et s'en est allé.
Jamais, Cooper ne s'est senti menacé par l'éléphanteau et il a conservé toute sa vie le souvenir magique de ce moment rare.
Presque 20 ans plus tard, Cooper s'est rendu avec son fils âgé de 11 ans, à un zoo de la banlieue de Sidney.
Lorsqu'ils sont passés tous les deux devant l'enclos des éléphants, l'un des Éléphants s'est brusquement mis à taper le sol avec sa patte avant gauche.
Cooper s'est mis à douter, pouvait-il s'agir du même éléphant que celui qu'il avait soigné 20 ans auparavant ?
Il s'approcha un peu plus de l'enclos, et l'animal continuait de frapper le sol de plus belle.
Alors, Cooper enjamba le mur d'enceinte et se dirigea vers l'éléphant.
Ce dernier le souleva en l'attrapant par la taille avec sa trompe, ensuite il le fracassa contre le mur.
Ce ne devait pas être le même éléphant...
... Il est con ce Cooper.
Lors d'un safari, alors qu'il s'était éloigné de son groupe au moment d'un arrêt, il se trouva face à face avec un éléphanteau qui semblait blessé à sa patte avant gauche qu'il maintenait levée.
Cooper réalisait que l'animal pourrait le charger, mais comme il ne semblait pas agressif, il s'en est approché prudemment et il a pu constater qu'en effet, l'éléphanteau avait une énorme écharde plantée à la base de sa patte.
Très calmement, Cooper a posé un genou à terre et à l'aide de son couteau, a retiré l'écharde de la patte.
Dès que l'animal a été soigné, il a pu reposer sa patte au sol, il a longuement regardé Cooper, puis il a barri bruyamment et s'en est allé.
Jamais, Cooper ne s'est senti menacé par l'éléphanteau et il a conservé toute sa vie le souvenir magique de ce moment rare.
Presque 20 ans plus tard, Cooper s'est rendu avec son fils âgé de 11 ans, à un zoo de la banlieue de Sidney.
Lorsqu'ils sont passés tous les deux devant l'enclos des éléphants, l'un des Éléphants s'est brusquement mis à taper le sol avec sa patte avant gauche.
Cooper s'est mis à douter, pouvait-il s'agir du même éléphant que celui qu'il avait soigné 20 ans auparavant ?
Il s'approcha un peu plus de l'enclos, et l'animal continuait de frapper le sol de plus belle.
Alors, Cooper enjamba le mur d'enceinte et se dirigea vers l'éléphant.
Ce dernier le souleva en l'attrapant par la taille avec sa trompe, ensuite il le fracassa contre le mur.
Ce ne devait pas être le même éléphant...
... Il est con ce Cooper.
ça n'a rien à voir mais ça me rappelle une vieille blague:
Dans cette classe de 3e, la maitresse a appris aux élèves le sens du mot « morale ». Pour exercer et vérifier cette connaissance nouvelle, elle leur a donné comme devoir de rédiger une histoire comportant une morale !
Le lendemain, elle interroge les élèves en commençant par Martine, élève modèle du premier rang.
Martine se lève et raconte : « Hier soir, j'ai aidé ma maman à faire la vaisselle. Pour me remercier maman m'a donné du chocolat. Morale, ma maman est gentille ! »
Pas mal, pas mal dit la maîtresse qui voit Henri s'agiter juste à côté : « Et toi, Henri, raconte-nous ton histoire ! »
« Hier après l'école, j'ai joué au foot devant la maison. J'ai fait un super shoot, mais le ballon est parti vers la fenêtre et a cassé un carreau. Mon papa a été très fâché et m'a puni de télé pour toute la semaine. Morale, mon papa est méchant ! »
Bon, on peut discuter, mais ça va, conclut la maîtresse un peu gênée !
Et les histoires se succèdent, toutes sur le même ton jusqu'au moment où arrive le tour de Toto, il faut bien lui donner la parole à lui aussi !
« Vas-y, Toto, raconte-nous ton histoire ! »
« Alors c'est l'histoire du cavalier noir qui galope dans le désert, tagadatagadatagada. À un moment, il croise un vieux monsieur qui porte un sac très lourd. Le cavalier noir prend son arc et tire une flèche en plein coeur du monsieur qui s'écroule mort ! »
« Toto, ton histoire n'est pas très drôle » l'interrompt la maîtresse ...
« C'est pas fini, c'est l'histoire du cavalier noir qui galope dans le désert, tagadatagadatagada. À un moment il croise une femme qui porte une cruche d'eau sur la tête. Il prend sa grande épée et d'un coup lui tranche la tête ! »
« Toto ça suffit... » lance la maîtresse !
« C'est pas fini, c'est l'histoire du cavalier noir qui galope dans le désert, tagadatagadatagada. À un moment, il voit un tout petit enfant qui joue dans le sable. Il prend sa grande lance, embroche l'enfant et d'un coup sec, zouuuup, l'envoie au loin. »
« Maintenant Toto, cela suffit, s'énerve la maîtresse, dis-nous la morale de ton histoire et c'est tout ! »
« La morale de mon histoire, c'est qu'il ne faut pas faire chier le cavalier noir ! »
Dans cette classe de 3e, la maitresse a appris aux élèves le sens du mot « morale ». Pour exercer et vérifier cette connaissance nouvelle, elle leur a donné comme devoir de rédiger une histoire comportant une morale !
Le lendemain, elle interroge les élèves en commençant par Martine, élève modèle du premier rang.
Martine se lève et raconte : « Hier soir, j'ai aidé ma maman à faire la vaisselle. Pour me remercier maman m'a donné du chocolat. Morale, ma maman est gentille ! »
Pas mal, pas mal dit la maîtresse qui voit Henri s'agiter juste à côté : « Et toi, Henri, raconte-nous ton histoire ! »
« Hier après l'école, j'ai joué au foot devant la maison. J'ai fait un super shoot, mais le ballon est parti vers la fenêtre et a cassé un carreau. Mon papa a été très fâché et m'a puni de télé pour toute la semaine. Morale, mon papa est méchant ! »
Bon, on peut discuter, mais ça va, conclut la maîtresse un peu gênée !
Et les histoires se succèdent, toutes sur le même ton jusqu'au moment où arrive le tour de Toto, il faut bien lui donner la parole à lui aussi !
« Vas-y, Toto, raconte-nous ton histoire ! »
« Alors c'est l'histoire du cavalier noir qui galope dans le désert, tagadatagadatagada. À un moment, il croise un vieux monsieur qui porte un sac très lourd. Le cavalier noir prend son arc et tire une flèche en plein coeur du monsieur qui s'écroule mort ! »
« Toto, ton histoire n'est pas très drôle » l'interrompt la maîtresse ...
« C'est pas fini, c'est l'histoire du cavalier noir qui galope dans le désert, tagadatagadatagada. À un moment il croise une femme qui porte une cruche d'eau sur la tête. Il prend sa grande épée et d'un coup lui tranche la tête ! »
« Toto ça suffit... » lance la maîtresse !
« C'est pas fini, c'est l'histoire du cavalier noir qui galope dans le désert, tagadatagadatagada. À un moment, il voit un tout petit enfant qui joue dans le sable. Il prend sa grande lance, embroche l'enfant et d'un coup sec, zouuuup, l'envoie au loin. »
« Maintenant Toto, cela suffit, s'énerve la maîtresse, dis-nous la morale de ton histoire et c'est tout ! »
« La morale de mon histoire, c'est qu'il ne faut pas faire chier le cavalier noir ! »
joueur d'apéro
- backtattoo
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- popolovitch
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- shootagain
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shootagain a écrit :backtattoo a écrit :papainf a écrit :C'est la mère de Toto qui crie :
" Toto, TOTO !!!!!!!, arrète de tourner en rond............................................................. ou alors je te cloue le deuxième pied !! "
ok, je
Je sors aussi, je me suis taper une barre
+1
+1
(surtout que j'ai du la relire une fois pour comprendre le truc marrant )
"l'extrémisme ne peut conduire qu'à sacrifier la raison pour se réfugier dans l'attente désespérée de miracles politiques."
Des étudiants en médecine reçoivent leur premier cours d'anatomie avec un vrai corps humain. Ils sont tous réunis autour d'une table d'opération avec le corps recouvert d'un drap blanc.
Le professeur leur dit :
En médecine, il faut avoir 2 qualités importantes :
- La première il ne faut pas être dégoûté.
Là-dessus le prof retire le drap, enfonce un doigt dans l'anus du mort et quand il l'a retiré, il suce son doigt.
- Allez faites la même chose que moi.
Les étudiants après quelques minutes d'hésitation passent chacun leur tour. Ils enfoncent le doigt dans l'anus du mort et sucent leur doigt après l'avoir retiré.
Quand tout le monde a fini le prof les regarde et leur dit :
- La seconde qualité c'est l'observation. J'ai enfoncé mon majeur et j'ai sucé l'index.
Le professeur leur dit :
En médecine, il faut avoir 2 qualités importantes :
- La première il ne faut pas être dégoûté.
Là-dessus le prof retire le drap, enfonce un doigt dans l'anus du mort et quand il l'a retiré, il suce son doigt.
- Allez faites la même chose que moi.
Les étudiants après quelques minutes d'hésitation passent chacun leur tour. Ils enfoncent le doigt dans l'anus du mort et sucent leur doigt après l'avoir retiré.
Quand tout le monde a fini le prof les regarde et leur dit :
- La seconde qualité c'est l'observation. J'ai enfoncé mon majeur et j'ai sucé l'index.
Faites moins de bruit...on s' entend pas foldé. ..
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