La crise est pour demain
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La crise est pour demain
Parcequ'on en n'a pas encore parlé. Parceque j'ai envi d'en remettre une couche. (il n'y a pas que la bière dans la vie)
Voila quelque chose qui m'a fait beaucoup rire (rire jaune biensur)
http://www.lesmotsontunsens.com/consequ ... r-20081003
Au passage un trés bon site
Voila quelque chose qui m'a fait beaucoup rire (rire jaune biensur)
http://www.lesmotsontunsens.com/consequ ... r-20081003
Au passage un trés bon site
"calme dans la victoire et gracieux dans la défaite" Benjo
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> >Avis aux investisseurs...
> >
> >
> >
> >Si à l'ouverture d'Eurotunnel vous aviez pris 1000 Euro d'actions,
> > Aujourd'hui vous auriez encore 27 Euros .
> > Si vous aviez acheté pour 1000 Euros d'actions Vivendi,
> > Vous n'auriez plus que 70 Euros.
> >Si vous aviez acheté pour 1000 Euros d'actions France Télécom,
> > Il vous resterait aujourd'hui 159 Euros.
> >Si l'an passé vous aviez acheté pour 1000 Euros d'actions Alcatel,
> > Il vous resterait aujourd'hui 170 Euros.
> >Par contre,
> > Si l'an passé, vous aviez acheté pour 1000 Euros de bacs de Jupiler,
> > Vous auriez tout bu, et
> > Aujourd'hui,
> > Il vous resterait 380 Euros de consigne...
> > Soit le plus haut rendement !!!
> >
> >Le P.E.J.
> > Plan Epargne Jupiler
> >
> > L 'épargne qu'il vous faut
> >Dividende payé en
> >LIQUIDE !
> >
> >
> >
> >
> >Si à l'ouverture d'Eurotunnel vous aviez pris 1000 Euro d'actions,
> > Aujourd'hui vous auriez encore 27 Euros .
> > Si vous aviez acheté pour 1000 Euros d'actions Vivendi,
> > Vous n'auriez plus que 70 Euros.
> >Si vous aviez acheté pour 1000 Euros d'actions France Télécom,
> > Il vous resterait aujourd'hui 159 Euros.
> >Si l'an passé vous aviez acheté pour 1000 Euros d'actions Alcatel,
> > Il vous resterait aujourd'hui 170 Euros.
> >Par contre,
> > Si l'an passé, vous aviez acheté pour 1000 Euros de bacs de Jupiler,
> > Vous auriez tout bu, et
> > Aujourd'hui,
> > Il vous resterait 380 Euros de consigne...
> > Soit le plus haut rendement !!!
> >
> >Le P.E.J.
> > Plan Epargne Jupiler
> >
> > L 'épargne qu'il vous faut
> >Dividende payé en
> >LIQUIDE !
> >
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Il y en a qui ont leur blog "bad beat". Pourquoi n'aurai-je pas le mien.
Donc je mets ici les lien que je trouve pour le moins intéressant.
Si ca vous intéresse .....
Les américains que l'on peut nommer "l"axe du bien" nous montre que l'on a vraiment tord de s'en faire por "Edwige".
Parceque eux, comme toujours, ils font plus fort
http://www.communautech.com/actualite/10-10-2008/3136/quand_la_nsa_espionne_les_particuliers.htm
Si vous avez envi de "skwatter" (j'aime bien l'écrire comme cela ) ce forum ne vous genez pas.
Donc je mets ici les lien que je trouve pour le moins intéressant.
Si ca vous intéresse .....
Les américains que l'on peut nommer "l"axe du bien" nous montre que l'on a vraiment tord de s'en faire por "Edwige".
Parceque eux, comme toujours, ils font plus fort
http://www.communautech.com/actualite/10-10-2008/3136/quand_la_nsa_espionne_les_particuliers.htm
Si vous avez envi de "skwatter" (j'aime bien l'écrire comme cela ) ce forum ne vous genez pas.
"calme dans la victoire et gracieux dans la défaite" Benjo
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De nombreux économistes, rapporteurs médiatiques, commentateurs et journalistes semblent inscrire les causes de la crise financière actuelle à la chute des prix de l’immobilier aux USA, dues aux faillites des particuliers qui ne parviennent pas à rembourser les prêts qu’ils ont contractés pour acheter leurs logements. Pourquoi une simple crise immobilière outre atlantique a engendré une des plus graves crises financière que le monde ait connu?
Dans nos économies modernes où les produits de grandes consommations sont fabriqués dans les pays émergeants et ne participent donc pas, directement au développement économique du pays consommateur, l’immobilier est, avec l’automobile un des facteurs principaux de la croissance. Il crée de l’emploi dans le secteur du bâtiment, donc sur le lieu même de la construction. Il crée aussi de la richesse auprès des organismes financiers contractants de prêts immobiliers et auprès d‘autres organismes financiers investissant dans ces programmes immobiliers. L’immobilier est aussi un sujet politiquement sensible. La précarité de l’emploi liée à la démographie galopante engendre la crainte pour chaque citoyen d’être mal loger ou pas loger du tout. Si beaucoup de personne pensent que le logements des citoyens dans des conditions descentes et de la responsabilité d’un état, reconnaissons que chaque citoyen moyen ou pauvre, s’il en avait les possibilités, aimerait être propriétaire de sa propre habitation. Imaginez alors un candidat en campagne pour la présidence de la république avoir pour slogan de ‘‘permettre à chaque citoyen de posséder son propre logement’’. C’est ça qu’a dit Sarkozy lors de sa campagne et ça a marché pour lui. Il a été elu
La crise de l’immobilier est communément considérée comme un ralentissement de la construction et une diminution des ventes due à une demande insuffisante. Il arrive aussi et surtout que la crise survienne en raison d’une offre trop abondante, suite à la faillite des propriétaires qui ne parviennent pas à rembourser les prêts qu’ils ont contractés pour acheter leurs logements.
Par le passé il y a eut beaucoup de crise immobilière engendrant des crises de la constructions Ces crises ont souvent été réglées par des artifices fiscaux permettant de facilité ou d’inciter les futurs propriétaire à faire l’acquisition d’un logement par l’intermédiaires d’aides fiscales ou financières.
La crise de l’immobilier caractérisée par le ‘‘ralentissement de la construction et d’une diminution des ventes due à une demande insuffisamment vraiment commencé en 2005. Les experts en économie et les banquiers sont les premiers à le savoir puisque ceci s’inscrit dans leurs domaines d’affaires et qu’en plus ils sont détenteurs des titres de propriété sur de nombreux immeubles. Ils savent également que d’un moment à l’autre, il y aura perte de valeur immobilière (baisse de prix) ; l’offre dépassant la demande. Par leur pouvoir de contrôle sur les transactions financières individuelles, les banquiers savent aussi que les demandes d’achats de maisons sont restreintes et que les salaires de nombreux citoyens de la classe moyenne ne peuvent leur permettre de postuler sur le marché des offres immobilières.
On touche ici au talon d’Achille de cette économie basée sur la consommation!
En effet chaque industrie doit fabriquer à moindre coût pour pouvoir vendre ses produits à des prix concurrentiel et en même temps dégager un maximum de bénéfices pour pouvoir satisfaire ses partenaires ou actionnaires. Pour cela elle dispose d’une variable d’ajustement compressible à l’infinie : la masse salariale. Oui mais le salarié est en même temps le consommateur. Comment faire pour lui baisser son salaire et donc ses revenus tout en lui permettant de consommer donc d’acheter d’avantage ?
Premièrement augmenter son temps de travail. « Tu ne gagnes pas asses fait donc des heures supplémentaires ». « Tu ne peux pas faire d’heure supplémentaire, alors prend un deuxième travail et pourquoi pas un troisième ».
C’est le fameux « Travailler plus pour gagner plus ! »
Cela peut marcher à la condition qu’il y ait du travail et ce n’est pas vraiment le cas en ce moment.
Même si les consommateurs voulaient augmenter leur revenue en travaillant plus, ils ne le peuvent pas. Si on veut que le consommateur continue de consommer il faut donc lui faciliter l’octroi de prêts. Sachant la crise de l’immobilier arriver et par peur de perdre leurs fonds avec la chute des valeurs immobilières qui en découlera certainement, les banquier ont intégré alors dans leur jargon financier un miraculeux concept nommé ‘‘subprimes’’ qui permet au consommateur salarié d’emprunter ce qu‘il veut, même si son salaire n’est pas très élevé. Alors beaucoup de citoyens de la classe moyenne seront servis puisqu’ils disposent d’un minimum de revenus.
Comme il y a beaucoup de logements et que les preneurs se font aussi rares. On peut ainsi imaginer que les banques ou les sociétés immobilières permettant aux gens d’avoir des maisons par l’octroi des crédits immobiliers sans garanties fiables dans ce contexte ne peut être que le reflet d’une campagne de déstockage, noyée dans un jargon financier dit de ‘‘subprimes’’. On comprendra aussi que le but visé par les banques ou les propriétaires d’immeubles associés dans cette opération, est de trouver les moyens de maintenir en valeur les biens immeubles ou de tenir une certaine clientèle dans une sorte de copropriété qui permettrait de minimiser les risques et de couvrir les pertes en cas de chute des valeurs.
Les conséquences de cette méthode hasardeuse et mafieuses utilisées par les propriétaires d’immeubles et les banquiers pour flouer le marché immobilier et boursier et masquer une véritable crise financière qui sévissait déjà ne vont pas tarder à se faire sentir.
Les propriétaires d’immeubles s’étant couverts avec l’engagement des emprunteurs et pour entrer rapidement en possession de l’argent mis en jeu dans l’adoption des ‘‘subprimes’’ transforment les emprunts en titre pour opérer sur les marchés boursiers. Les banques émettent donc des titres de dette, c’est-à-dire un papier donnant droit à l’argent frais ou aux virements. Comme les Banques peuvent avoir des titres, issus de la conversion des ‘‘subprimes’’ en introduction déguisée d’un bien en vente dans le marché boursier par un opérateur tiers, elles peuvent alors s’en servir pour faire des échanges sur les places boursières. Or l’on sait que les seules garanties pour les ‘‘subprimes’’ sont des maisons ayant fait l’objet d’attribution des crédits immobiliers et des prêts hypothécaires à risque consentis aux citoyens à revenus moyens. Imaginez que quelque temps après, la valeur des maisons baisse. La banque est en train de perdre de l’argent sur les ventes. Comme certains emprunteurs se rendent compte qu’ils sont pris dans un piège, la situation se complique. Les taux de remboursement sont augmentés, certaines maisons sont saisies et mises en vente par les banques qui veulent ainsi couvrir leurs pertes. De nombreux emprunteurs sont ruinés, les familles mises à la rue : c’est la crise de l’immobilier.
Cette crise immobilière qui n’aurait du être qu’un ralentissement du marché a existé par le faute de banquiers spéculateurs et complètement inconscients. Mais dans cette histoire le rôle de la monnaie est perverti car elle est devenue elle-même marchandise dès lors que le crédit immobilier n’est plus considéré comme un engagement statique mais transformés en titres et mis en circulation sur les marchés boursiers. Ceci étant, on pouvait s’attendre à la variation à la hausse des taux d’intérêts qui élèvent les montants des mensualités à payer et provoquent la défaillance des emprunteurs. Mais les taux augmentent du fait même que la monnaie elle-même est traitée comme une marchandise. Par conséquent, elle ne peut plus jouer son rôle d’instrument de mesure de l’échange.
Les lignes de prêts transformées ainsi en argent « virtuel » ont été intégrées dans la comptabilité des banques et autres organismes boursiers. Les banques voulant minimiser leurs pertes les ont vites vendu à bon prix voir même « à découvert » sur le marché boursier.
La vente à découvert est une absurdité bancaire. En gros vous avez connaissance qu’une action qui vaut disons 20€ va prendre très vite de la valeur disons 100€ en 6 mois. Vous n’avez pas d’argent pour vous en acheter. Vous cherchez un investisseur et vous lui proposez ce deal : Tu m’achètes 100000 € d’actions à 20€ et je te les rachète dans 6 mois 300000 € comme elles vaudront 100€ vous faites un bénéfice de 200000 €. Si elle ne valent que 30 € vous étés de votre poche de 150000€.
Ce sont ces lignes de prêts qui ont été vendu à découvert. Ils sont très vite devenu un produit spéculatif et ont ainsi intoxiqués l’économie mondiale. En raison de l’accélération brutale de la crise immobilière, ces lignes « d’investissement » bouté par la vente à découvert ont été passées en « pertes et profits ». Que pouvait-on faire d’autre ?
C’est la crise financière. Et pour venir au secours des banques l’état se voie obligé de rembourser avec notre argent des pertes qui n’existent que dans le virtuel.
Comme un malheur n’arrive jamais seul, nous voila avec des banques quasiment en cessation de paiement et donc ne pouvant plus octroyer de prêts Une partie de consommateurs ruinés par ces ‘‘subprimes’’ l’autre partie des consommateurs ne pouvant plus consommer car soit elle ne peut plus emprunter soit elle peut plus travailler plus pour ……
Je vous laisse imaginer l’ampleur de la crise économique qui va nous tomber sur la tête.
Je vous laisse des questions reprises par pas mal de journalistes et qui me font bien rire.
L’immobilier est en crise.
Et si cette crise avait quelque chose à voir avec l’argent investi dans la guerre ... d’Irak.
Et si la crise de l’immobilier n’était qu’une conséquence d’une crise sécuritaire et financière causée par des menaces terroristes et de délinquance institutionnelle caractérisées par l’instabilité des avoirs dans le circuit boursier ?
Et si tout ça n’était qu’un camouflage des détournements bancaires pour couvrir les rapts orchestrés au nom de la lutte contre le terrorisme ?
Et s’il ne s’agissait que d’une manœuvre de positionnement organisée par une vague de capitalistes décidés à renverser les réseaux en post position ?
Voila comment je comprend cette crise. Si vous avez un autre avis sur la question, c'est à vous
Dans nos économies modernes où les produits de grandes consommations sont fabriqués dans les pays émergeants et ne participent donc pas, directement au développement économique du pays consommateur, l’immobilier est, avec l’automobile un des facteurs principaux de la croissance. Il crée de l’emploi dans le secteur du bâtiment, donc sur le lieu même de la construction. Il crée aussi de la richesse auprès des organismes financiers contractants de prêts immobiliers et auprès d‘autres organismes financiers investissant dans ces programmes immobiliers. L’immobilier est aussi un sujet politiquement sensible. La précarité de l’emploi liée à la démographie galopante engendre la crainte pour chaque citoyen d’être mal loger ou pas loger du tout. Si beaucoup de personne pensent que le logements des citoyens dans des conditions descentes et de la responsabilité d’un état, reconnaissons que chaque citoyen moyen ou pauvre, s’il en avait les possibilités, aimerait être propriétaire de sa propre habitation. Imaginez alors un candidat en campagne pour la présidence de la république avoir pour slogan de ‘‘permettre à chaque citoyen de posséder son propre logement’’. C’est ça qu’a dit Sarkozy lors de sa campagne et ça a marché pour lui. Il a été elu
La crise de l’immobilier est communément considérée comme un ralentissement de la construction et une diminution des ventes due à une demande insuffisante. Il arrive aussi et surtout que la crise survienne en raison d’une offre trop abondante, suite à la faillite des propriétaires qui ne parviennent pas à rembourser les prêts qu’ils ont contractés pour acheter leurs logements.
Par le passé il y a eut beaucoup de crise immobilière engendrant des crises de la constructions Ces crises ont souvent été réglées par des artifices fiscaux permettant de facilité ou d’inciter les futurs propriétaire à faire l’acquisition d’un logement par l’intermédiaires d’aides fiscales ou financières.
La crise de l’immobilier caractérisée par le ‘‘ralentissement de la construction et d’une diminution des ventes due à une demande insuffisamment vraiment commencé en 2005. Les experts en économie et les banquiers sont les premiers à le savoir puisque ceci s’inscrit dans leurs domaines d’affaires et qu’en plus ils sont détenteurs des titres de propriété sur de nombreux immeubles. Ils savent également que d’un moment à l’autre, il y aura perte de valeur immobilière (baisse de prix) ; l’offre dépassant la demande. Par leur pouvoir de contrôle sur les transactions financières individuelles, les banquiers savent aussi que les demandes d’achats de maisons sont restreintes et que les salaires de nombreux citoyens de la classe moyenne ne peuvent leur permettre de postuler sur le marché des offres immobilières.
On touche ici au talon d’Achille de cette économie basée sur la consommation!
En effet chaque industrie doit fabriquer à moindre coût pour pouvoir vendre ses produits à des prix concurrentiel et en même temps dégager un maximum de bénéfices pour pouvoir satisfaire ses partenaires ou actionnaires. Pour cela elle dispose d’une variable d’ajustement compressible à l’infinie : la masse salariale. Oui mais le salarié est en même temps le consommateur. Comment faire pour lui baisser son salaire et donc ses revenus tout en lui permettant de consommer donc d’acheter d’avantage ?
Premièrement augmenter son temps de travail. « Tu ne gagnes pas asses fait donc des heures supplémentaires ». « Tu ne peux pas faire d’heure supplémentaire, alors prend un deuxième travail et pourquoi pas un troisième ».
C’est le fameux « Travailler plus pour gagner plus ! »
Cela peut marcher à la condition qu’il y ait du travail et ce n’est pas vraiment le cas en ce moment.
Même si les consommateurs voulaient augmenter leur revenue en travaillant plus, ils ne le peuvent pas. Si on veut que le consommateur continue de consommer il faut donc lui faciliter l’octroi de prêts. Sachant la crise de l’immobilier arriver et par peur de perdre leurs fonds avec la chute des valeurs immobilières qui en découlera certainement, les banquier ont intégré alors dans leur jargon financier un miraculeux concept nommé ‘‘subprimes’’ qui permet au consommateur salarié d’emprunter ce qu‘il veut, même si son salaire n’est pas très élevé. Alors beaucoup de citoyens de la classe moyenne seront servis puisqu’ils disposent d’un minimum de revenus.
Comme il y a beaucoup de logements et que les preneurs se font aussi rares. On peut ainsi imaginer que les banques ou les sociétés immobilières permettant aux gens d’avoir des maisons par l’octroi des crédits immobiliers sans garanties fiables dans ce contexte ne peut être que le reflet d’une campagne de déstockage, noyée dans un jargon financier dit de ‘‘subprimes’’. On comprendra aussi que le but visé par les banques ou les propriétaires d’immeubles associés dans cette opération, est de trouver les moyens de maintenir en valeur les biens immeubles ou de tenir une certaine clientèle dans une sorte de copropriété qui permettrait de minimiser les risques et de couvrir les pertes en cas de chute des valeurs.
Les conséquences de cette méthode hasardeuse et mafieuses utilisées par les propriétaires d’immeubles et les banquiers pour flouer le marché immobilier et boursier et masquer une véritable crise financière qui sévissait déjà ne vont pas tarder à se faire sentir.
Les propriétaires d’immeubles s’étant couverts avec l’engagement des emprunteurs et pour entrer rapidement en possession de l’argent mis en jeu dans l’adoption des ‘‘subprimes’’ transforment les emprunts en titre pour opérer sur les marchés boursiers. Les banques émettent donc des titres de dette, c’est-à-dire un papier donnant droit à l’argent frais ou aux virements. Comme les Banques peuvent avoir des titres, issus de la conversion des ‘‘subprimes’’ en introduction déguisée d’un bien en vente dans le marché boursier par un opérateur tiers, elles peuvent alors s’en servir pour faire des échanges sur les places boursières. Or l’on sait que les seules garanties pour les ‘‘subprimes’’ sont des maisons ayant fait l’objet d’attribution des crédits immobiliers et des prêts hypothécaires à risque consentis aux citoyens à revenus moyens. Imaginez que quelque temps après, la valeur des maisons baisse. La banque est en train de perdre de l’argent sur les ventes. Comme certains emprunteurs se rendent compte qu’ils sont pris dans un piège, la situation se complique. Les taux de remboursement sont augmentés, certaines maisons sont saisies et mises en vente par les banques qui veulent ainsi couvrir leurs pertes. De nombreux emprunteurs sont ruinés, les familles mises à la rue : c’est la crise de l’immobilier.
Cette crise immobilière qui n’aurait du être qu’un ralentissement du marché a existé par le faute de banquiers spéculateurs et complètement inconscients. Mais dans cette histoire le rôle de la monnaie est perverti car elle est devenue elle-même marchandise dès lors que le crédit immobilier n’est plus considéré comme un engagement statique mais transformés en titres et mis en circulation sur les marchés boursiers. Ceci étant, on pouvait s’attendre à la variation à la hausse des taux d’intérêts qui élèvent les montants des mensualités à payer et provoquent la défaillance des emprunteurs. Mais les taux augmentent du fait même que la monnaie elle-même est traitée comme une marchandise. Par conséquent, elle ne peut plus jouer son rôle d’instrument de mesure de l’échange.
Les lignes de prêts transformées ainsi en argent « virtuel » ont été intégrées dans la comptabilité des banques et autres organismes boursiers. Les banques voulant minimiser leurs pertes les ont vites vendu à bon prix voir même « à découvert » sur le marché boursier.
La vente à découvert est une absurdité bancaire. En gros vous avez connaissance qu’une action qui vaut disons 20€ va prendre très vite de la valeur disons 100€ en 6 mois. Vous n’avez pas d’argent pour vous en acheter. Vous cherchez un investisseur et vous lui proposez ce deal : Tu m’achètes 100000 € d’actions à 20€ et je te les rachète dans 6 mois 300000 € comme elles vaudront 100€ vous faites un bénéfice de 200000 €. Si elle ne valent que 30 € vous étés de votre poche de 150000€.
Ce sont ces lignes de prêts qui ont été vendu à découvert. Ils sont très vite devenu un produit spéculatif et ont ainsi intoxiqués l’économie mondiale. En raison de l’accélération brutale de la crise immobilière, ces lignes « d’investissement » bouté par la vente à découvert ont été passées en « pertes et profits ». Que pouvait-on faire d’autre ?
C’est la crise financière. Et pour venir au secours des banques l’état se voie obligé de rembourser avec notre argent des pertes qui n’existent que dans le virtuel.
Comme un malheur n’arrive jamais seul, nous voila avec des banques quasiment en cessation de paiement et donc ne pouvant plus octroyer de prêts Une partie de consommateurs ruinés par ces ‘‘subprimes’’ l’autre partie des consommateurs ne pouvant plus consommer car soit elle ne peut plus emprunter soit elle peut plus travailler plus pour ……
Je vous laisse imaginer l’ampleur de la crise économique qui va nous tomber sur la tête.
Je vous laisse des questions reprises par pas mal de journalistes et qui me font bien rire.
L’immobilier est en crise.
Et si cette crise avait quelque chose à voir avec l’argent investi dans la guerre ... d’Irak.
Et si la crise de l’immobilier n’était qu’une conséquence d’une crise sécuritaire et financière causée par des menaces terroristes et de délinquance institutionnelle caractérisées par l’instabilité des avoirs dans le circuit boursier ?
Et si tout ça n’était qu’un camouflage des détournements bancaires pour couvrir les rapts orchestrés au nom de la lutte contre le terrorisme ?
Et s’il ne s’agissait que d’une manœuvre de positionnement organisée par une vague de capitalistes décidés à renverser les réseaux en post position ?
Voila comment je comprend cette crise. Si vous avez un autre avis sur la question, c'est à vous
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Voila un petit resumé de la crise trés bien fait
http://www.dailymotion.com/relevance/search/crise%2Bfinanci%25C3%25A8re%2Bgroland/video/x789ax_la-crise-financiere-expliquee-par-g_fun
http://www.dailymotion.com/relevance/search/crise%2Bfinanci%25C3%25A8re%2Bgroland/video/x789ax_la-crise-financiere-expliquee-par-g_fun
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